Mandala, un voyage dans le cercle

Ce mandala est dédié à l'Archange Gabriel. Un cheminement avec les couleurs de l'alliance... les couleurs de l'arc-en-ciel ! Il est un développement entre ce premier mandala :

et ce deuxième...

Gabriel est bien sûr l'Archange de l'annonce à Marie. Il est le serviteur et le messager de la paix.

Ainsi je vous envoie au travers de ces mandalas
mon message de paix pour l'année 2013 !

Les magnifiques peintures et rosaces en marbre dans l'église " Sant'Anastasia " à Vérone m'ont fasciné. La basilique est le monument gothique le plus visité de Vérone et son sol est en marbre rouge, blanc et noir réalisé en 1462.

L'église Santa Anastasia est l'église la plus vaste de Vérone. On ne peut pas la manquer car elle n'est pas loin de la fameuse place Piazza delle Erbe. (N'oubliez pas que pour visiter les églises de Vérone, il faut payer un denier. J'ai pris le ticket pour 4 églises qui vallent vraiment le détour).

Tous ces beaux monuments ont vraiment une âme. Il suffit de s'y promener pour ressentir leur beauté intrinsèque. Et puis, il faut bien que je vous le dise... je suis tombée amoureuse de Vérone et de ses vieilles pierres.

Et si notre vie pouvait nous parler, que raconterait-elle ?

Parfois son langage secret relève des codes des agents secrets. Décrypter ou décoder un rêve, une situation de déjà-vu revient à lire un livre en le tenant tête-bêche.

Récemment, j’ai lu que pour interpréter ses rêves, rien de mieux que de les dessiner. 

J’avoue que le mandala se prêtre facilement au jeu car l’on peut y inclure toutes les formes et symboles que l’on souhaite. C.G. Jung remarqua que dans l’inconscient, nos expériences et nos rêves se fondent en symboles (motifs archétypaux).

« Celui qui regarde au dehors rêve, celui qui regarde au-dedans s’éveille » (C.G. Jung)

(Source : Mandala, Journey to the Centre)

Vous est-il arrivé de peindre vos rêves ?

Le principe le plus important du bouddhisme est :

" Sois attentif. Observe tes pensées et tes émotions.

Examine avec soin ce qui se produit sous tes yeux.

Sois honnête avec toi-même. "

Ensemble, faisons de ce principe notre loi !

Mandala Land-Art réalisé à Hochserles, Vallée de Stubai (1680 m)
pour vous faire découvrir mon univers !

L’automne est un thème privilégié car il nous montre le chemin du lâcher-prise. Il suffit de regarder les arbres qui laissent leurs feuilles tomber, qui acceptent les lois immuables de la nature. En imitant Dame Nature, nous pouvons aussi nous libérer de nos sentiments d’angoisse, de peur, mais aussi nos habitudes, nos addictions, etc.

Se laisser inspirer par l'exemple de l'arbre, c'est réaliser sa propre transformation, accepter le changement et lâcher prise.

Mandala arbre de la justice

L’automne c’est aussi observer la nature et méditer sur sa façon de faire. Comparons notre corps avec l’arbre : Suis-je bien enraciné ?

Mandala Arbre de la vérité

Les racines qui s’enfoncent dans la terre nourricière sont mes pieds et les branches qui s’élèvent vers le ciel sont mes bras. N’hésitons pas à nous en remettre à la Terre ou au Ciel selon le problème qui tourne dans notre tête afin de lâcher nos tensions, nos pensées, etc...

Mandala arbre de l'amour

Une symbolique qui se renforce dans notre sensation de « force et de solidité . Est-ce que je puise sur mes réserves physiques ou mentales ? Lorsque nous regardons le tronc d’un arbre, nous pouvons méditer sur sa vigueur et y avoir recours mentalement chaque fois que l’on en a besoin.

Mandala automne à l'aquarelle

Lorsque nous observons la souplesse de ses rameaux et leur flexibilité nous apprenons sa patience.

« Bien dans son corps, bien dans sa tête » dit un proverbe. Adaptons nous aux conditions de l'automne, ne maugréons pas sur le vent et le froid, mais concentrons nous et développons notre attention, notre créativité, notre spontanéité.

Mandala entrer en contact avec la terre

Réapprenons à parler, à marcher, à communiquer en partant en randonnée physiquement sur les chemins, mentalement en nous-même, spirituellement vers la paix bleue.

« Toujours la fin, et toujours le commencement »
comme le décrit si bien le poète britannique William Cowper (1731-1800).